• Une nouvelle fois j'ai enfourché mon vélo pour suivre la Seine à partir de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne (94)  jusqu'à Saintry-sur-Seine même si à de rares occasions je ne la verrai plus à partir de Draveil. La pluie a commencé à tomber doucement après quelques kilomètres. Je ne m'en suis pas inquiétée :  j'ai suivi de près la météo pour la journée complète. Après deux journées à 40 et 43 degrés, je préférais éviter de rouler sous un orage ! Quel plaisir de rouler, non pas avec la fraîcheur (il ne faut pas rêver !), mais avec une température plus acceptable. 22 degrés à 9h30, heure de démarrage de ma sortie et pas plus de 30 degrés au plus chaud, ça devrait être plus gérable. La pluie va vite s'arrêter et laisser place par intermittence à un soleil brillant. 

    Le long de la Seine, j'enchaîne entre pistes cyclables, chemins aménagés et petites routes en passant d'abord par Vitry-sur-Seine, Choisy-le-Roi, Villeneuve-le-Roi, Ablon-sur-Seine puis dans l'Essonne, Athis-Mons, Juvisy-sur-Seine, passage sur un pont pour aller de l'autre côté de la Seine à Draveil. Je m'arrête un court instant dans une boulangerie pour le déjeuner prévu un peu plus tard dans la forêt de Rougeau. Puis j'emprunte les D448 et D446 en traversant la forêt de Seinart par Soisy-sur-Seine, Etiolles. Un petit arrêt à Corbeil-Essonnes où je découvre sur la Seine des Cygnes. Encore un peu de pédalage et j'arrive à la forêt régionale de Rougeau, passe par la Seine-et-Marne (77) pendant un ou deux kilomètres. C'est désormais le retour. Il est temps de m'arrêter dans mon lieu de prédilection, celui-là même où je me suis arrêtée à trois reprises ce mois-ci. Je retrouve d'ailleurs le petit coin avec deux tables en bois. Quel plaisir une nouvelle fois de m'y retrouver. J'apprécie le calme et les arbres. Cette sensation d'apaisement et de bien être. Pas pour longtemps. Depuis mon arrivée, une guêpe tourne autour de moi.  A un moment inattention, je dois très certainement effectuer un geste brusque et bing ! Première piqûre de guêpe pour ma part, sur le ventre. Je comprends mieux maintenant la signification du mot piqûre : effectivement ça pique ! Rien de dramatique tout de même mais ça pique. Du coup, je repars rapidement dans le cas où mon corps aurait une mauvaise réaction. Comme c'est la première fois, je ne sais pas comment il va réagir. Résultat : pas trop mal !

    Retour identique. La chaleur a désormais pris place même si nous sommes loin de la chaleur étouffante et accablante des deux derniers jours. Nouvelle sortie bien agréable. 

    Quelques photos :

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

    Randonnée sur les bords de Seine jusqu'à la forêt de Rougeau - 26 juillet 2019 (81 km)

     


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  • Ce matin en partant vers 9h30 j'avais comme objectif de prendre la direction de Melun, en Seine-et-Marne (77),  ce qui équivaut au départ de mon petit périple de 4 jours effectué récemment. A la différence que je n'étais pas passée par Melun. Petit détour au préalable en passant par l'Haÿ-les-Roses, Chevilly-Larue puis mon petit circuit habituel sur les bords de Seine par Vitry-sur-Seine, Choisy-le-Roi, Villeneuve-le-Roi, Ablon-sur-Seine, puis entrée dans l'Essonne : Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge. Passage sur un pont qui permet d'arriver de l'autre côté de la Seine,  jusqu'à Draveil. Désormais, je m'éloigne de la Seine et prends la direction des forêts avoisinantes sur la D448 puis dans la continuité, la D346. Forêts de Sénart, de Rougeau, Cesson la Forêt. Beaucoup d'arbres, d'ombre. Tant mieux car en début d'après-midi la chaleur se fait grandement ressentir, même si la canicule, annoncée pour la semaine prochaine, n'est pas encore effective. Je croise quelques cyclistes, sans plus pour un dimanche. Juste avant d'arriver à Melun je fais demi-tour. Inutile de rentrer dans la ville qui doit être blindée de véhicules.

    Je m'arrête dans la forêt de Rougeau pour manger un peu, vers 13h30. La forêt est calme, quelques randonneurs et pique-niqueurs malgré tout. Retour identique qu'à l'aller hormis que je me perds dans Choisy-le-Roi à cause de travaux sur un quai. Je me retrouve sur une départementale en travaux (de toute façon dans mon secteur, il y a des travaux partout !). Juste une file. Je me demande comment la circulation arrive à se faire en semaine. J'arrive tranquillement chez moi, contente de cette sortie avec un parcours relativement plat. J'arrive juste à temps pour regarder les 6 derniers kilomètres du Tour de France !

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)

    Randonnée jusqu'à Melun, en passant par les bords de Seine, forêts de Seinart, de Rougeau... (108 km)


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  • 4 jours à vélo dans ma région (94, 91, 77, 89 ) en juillet 2019 | Vidéo

      

    J'ai fait un mini voyage à vélo en solitaire du 8 au 11 juillet 2019 au départ de mon domicile, à Villejuif dans le Val-de-Marne (94) en passant par l'Essonne (91), la Seine-et-Marne (77) et le nord de l'Yonne (89) jusqu'à Sens pour ensuite rentrer avec un itinéraire un peu différent et souvent improvisé (jamais sans ma carte IGN !). 315 kilomètres, du beau temps, des mages plein la têtes, c'était bô ! Cette vidéo est le fruit de ce que j'ai vécu et surtout vu à travers mes yeux, mon esprit et mon cœur. Vous ne m'entendrez pas parler, ni me verrez (en permanence). J'avais surtout envie de faire partager ce qui me semblait être le plus important, la contemplation des moments présents. Mes compétences en matière de montage de vidéos étant toujours aussi limitées, ne vous attendez pas à de grandes prouesses. Vous êtres prévenu-e-s. :-)

    Compte rendu avec de nombreuses photos

     


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  • Compte rendu de la troisième journée

    Départ sur la D448. Je quitte Saintry pour rejoindre Corbeil-Essonne, puis Etiolles et Soisy-sur-Seine. Il est tôt, la circulation routière est encore calme. A Draveil, elle commence à s'accentuer. Arrêt rapide dans une boulangerie qui est vraisemblablement ouverte depuis peu de temps ce matin. Les vendeuses sont en train de ranger les viennoiseries. Une baguette pour moi ! Je traverse à nouveau la Seine par un pont qui m'amène à Juvisy-sur-Orge (remember l'aller). C'est à ce moment-là que je sens les premières gouttes de pluie tomber sur mes bras. Il pleut doucement mais il pleut. Que se passe-t-il ? Satisfait ou remboursé ? Remboursée, on m'avait dit qu'il ferait beau, ahah ! Aucun coin de ciel bleu n'apparaît dans le ciel. Je pédale, je pédale, passe par Athis-Mons et j'entre dans le Val-de-Marne (94), à Ablon-sur-Marne. Je fais une pause sur un banc pour rédiger mes notes, je mange un peu et prends quelques photos (dont le selfie ! Pfff, après une nuit de stress, à avoir dormir 4 heures après 130 km dans les pattes, ce n'est pas le bon moment pour se prendre en photo !). Les branches et feuillages au-dessus de moi me protègent de la pluie fine... d'ailleurs au bout d'un moment, la pluie va définitivement s'arrêter. Il est 8h30, la circulation est dense. Je vais attendre un peu en lisant mon livre et profiter des derniers instants de ce voyage. Choisy-le-Roi, Vitry-sur-Seine et enfin Villejuif avec la dernière côte de l'avenue des Malassis, un petit détour pour contourner les travaux du Grand Paris (omniprésent à droite et à gauche, quelle merde !), les derniers 100 mètres et j'atteins mon avenue. Ça y est ! Ma chatte Colombine m'attend derrière la porte. Des câlins et des caresses sont de rigueur après quatre jours d'absence ! Je range mes affaires, prend une douche. Et voilà, c'est fini. Je suis toute contente de ce que j'ai vécu. A bientôt pour de prochaines aventures.

    Vidéo de 4 minutes

    Ciel très gris

    4ème et dernière journée : jeudi 11 juillet 2019 - De Saintry-sur-Seine (91) à Villejuif (94)

    4ème et dernière journée : jeudi 11 juillet 2019 - De Saintry-sur-Seine (91) à Villejuif (94)

    4ème et dernière journée : jeudi 11 juillet 2019 - De Saintry-sur-Seine (91) à Villejuif (94)

    Le selfie, c'est juste pour éviter d'entendre  "Mais on ne te voit pas sur les photos".

    4ème et dernière journée : jeudi 11 juillet 2019 - De Saintry-sur-Seine (91) à Villejuif (94)


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  • Compte rendu de la deuxième journée

    Levée à 8 heures (quelle bonne nuit récupératrice mais dormir une ou deux heures de plus ne m'aurait pas dérangé, bien au contraire). mon amie et moi, déjeunons un copieux petit déjeuner comprenant un grand bol de lait d'avoine chaud (aussi bon que le lait de riz)  et des tartines à la margarine végétale. Je prends un petit verre de multivitaminé pour la route. Le départ se fait tout de même à 10h10, difficile de quitter une amie que je ne vois pas souvent à cause de la distance.

    Je me retrouve sans le vouloir sur la D23 et je finis par récupérer la D323 (le 323 est un bus qui passe dans ma ville !) qui me fait emprunter une petite route bien sympathique au calme, entre champs et villages. Quel plaisir ! Si seulement cela pouvait être ainsi pendant tout le restant du trajet. A la frontière de l'Yonne (le département !) et la Seine-et-Marne je m'arrête devant une épicerie qui fait également office de bar, pour acheter quelques fruits. Le gérant est originaire du 13ème arrondissement de Paris. On a été presque voisin-e-s il n'y a pas si longtemps. Il m'annonce qu'il fera beau au moins pour les prochains jours. Après avoir parcouru 33 kilomètres (je ne fais pas le tour de France !) je m'arrête à Marolles pour déjeuner, histoire d'alimenter mon carburant, d'étudier l'itinéraire, écrire des notes et faire quelques étirements.

    En reprenant la route vers 14 heures je ne m'attendais pas à une aussi longue journée sur le vélo puisque je vais avaler 130 kilomètres dans la journée, jusqu'à la tombée de la nuit. Explication : je récupère la D39 comme à l'aller, cela me permet de rouler plus ou moins le long de la Seine (l'Yonne, c'est fini pour moi !). Je me paume (ma spécialité !) pendant 10 kilomètres  à Champagne-sur-Seine à cause d'une déviation (l faut bien trouver un coupable, non ?). Dans la ville d'après, Thomery, la forêt de Fontainebleau s'ouvre à moi. J'essaie d'éviter les grandes départementales du coup mon itinéraire est en lacet et il allonge le parcours. Ce n'est pas grave mais à faire trop de kilomètres, on finit par se fatiguer, voire se blesser. Heureusement, ça ne sera pas le cas. Finalement, je prends la direction de Bois-le-Roi sur la D138, toujours en forêt. Je sers un peu de piment dans le plat en me trompant une nouvelle fois (et comme il y a 3 ans ! Si, si, c'est possible !). Je rectifie le tir à Dammarie-les-Lys en faisant de nouveaux kilomètres supplémentaires que j'aurais bien aimé éviter. Il est déjà 19h30. Mon objectif désormais est d'aller dormir dans la forêt de Rougeau, celle-là même où j'avais déjeuné le premier jour. Ça ne sera pas pour tout de suite. Je prends la D142 jusqu'à Saint-Fargeau-Ponthierry, je traverse la Seine (heu, pas à la nage, hein ?!) et la retraverse pensant avoir commis une erreur puis la re-retraverse, histoire de faire des kilomètres supplémentaires ! (la situation me représente assez bien : pris entre doutes et cerveau qui cogite trop). Mais ce n'est pas fini, la cerise sur le gâteau : je suis une petite route qui longe la forêt  et la Seine (encore elle, oui, c'est vrai !) mais impossible  de rentrer dans la dite forêt, ni d'emprunter un autre chemin. Je suis dans l'obligation de continuer sur la même voie. Je pédale, je pédale, presque dans la choucroute jusqu'à Saintry-sur-Seine (je suis passée de l'Yonne, à la Seine-et-Marne puis l'Essonne). J'ai presque l'espoir de dormir dans un camping (même si ce n'était pas dans mes projets mais au point où on en est, j'ai juste ENVIE de m'arrêter, de me poser et de faire dodo) en remarquant un panneau "camping". Il s'avère être un camping pour mobiles homes, et caravanes. Je n'y vois pas de tentes. Bref, il est 21 heures, la réception est fermée. Je continue ma route. On verra bien.  Je commence sérieusement à être anxieuse, me voyant rouler la nuit jusqu'à chez moi. Je veux juste un petit coin d'herbe quelque part pour poser mon sac de couchage, dormir quelques heures et repartir à la fraîche. Alors, que va-t-il se passer ? Suspens... 

    En récupérant la D448 à Saintry, je remarque un panneau indiquant la forêt de Rougeau très proche et qui semble être dans le coin dans lequel je m'étais rendue le premier jour pour déjeuner. Alors, solution trouvée ? Oui ? Non ? Oui ! Je m'enfonce un peu dans la forêt, sors du sentier pour aller dans les sous bois. Aucun repérage au préalable puisqu'i estl 22h30. Dans la forêt, l'obscurité commence à se faire sentir. Je trouve un petit coin comme ça, un peu au hasard. Je sors ma bâche, le sac de couchage, j'allonge le vélo, sors ma lampe dans le cas où. J'enlève mes chaussures et dors tout habillé dans le cas où j'aurais besoin de partir en vitesse. Je n'ai pas le temps, ni l'envie de dîner (j'avais tout de même mangé deux pommes peu de temps avant). Extinction des feux ! Impossible de m'endormir. D'abord un chien aboie, il habite dans les habitations non loin de là. Au début j'ai cru qu'il était dans la forêt, quelle peur ! J'ai du mal à m'endormir à cause de l'excitation (je ne me suis pas posée, je pédalais encore il y a 10 minutes), la peur des bruits, d'être découverte. Je me fais un film, un film dramatique qui se termine en catastrophe. J'ai chaud aussi, je m'oblige à rentrer ma tête dans le sac car les moustiques volent autour de moi et de les entendre font accélérer mon cœur. Le moindre craquement me fait sursauter, en imaginant toujours le pire. Je dors par intermittence pendant deux heures. Le comble se situe vers 1 heure du matin. J'entends des craquements autour de moi, comme si quelqu'un était proche. Ça ne peut pas être des oiseaux. Non. C'est forcément une personne. Je suis très mal. Et si c'était au mieux une personne de l'ONF qui me demande de déguerpir, voire des policiers voulant m'emmener au commissariat (c'est déjà arrivé à un randonneur/campeur dans la forêt de Fontainebleau). Et j'ose à peine imaginer le pire du pire, quelqu'un qui m'agresse. Dans ces moments-là , le cerveau n'arrive plus à relativiser, il ne produit que du négatif en ressassant le pire. Je ne connais pas la législation de cette forêt, si le bivouac est toléré (un vrai bivouac, c'est à dire installé en début de nuit et reparti avant le levé du soleil, en ayant rien laissé sur place... et pas de feu, of course !). J'entends les bruits pendant plusieurs minutes. Je ne vois pas la lumière d'une lampe donc je garde un infime espoir. Lorsque les bruits s'arrêtent j'essaie de relativiser et mets un moment à m'endormir. Je me réveille 4 heures plus tard en me disant que le pire était passé. J'attends un peu pour ne plus être totalement dans l'obscurité. Je relève mon vélo, installe les sacoches rapidement. Je me passe un coup d'eau ultra rapide sur mon visage. Pas question de prendre du savon car il faudrait chercher dans mes sacoches. Et si la personne était toujours là ? Je me dépêche de partir de la forêt. Lorsque j'en sors, je sens un énorme poids sortir de moi. Un soulagement et un plaisir d'avoir vaincu ça car je me suis retrouvée dans une situation très, très stressante. D'ailleurs une fois rentrée chez moi, j'ai remarqué dans un miroir des boutons qui sont apparus sur mon front. J'ai cru au début à des piqûres d'insectes mais il est fort probable que le stress les a occasionnés.  Le quelqu'un en question pourrait être un animal de taille moyenne comme un chevreuil... le mystère ne sera jamais résolu.

    Compte rendu de la quatrième et dernière journée

     

    3ème journée : mercredi 10 juillet 2019 - De Sens (89) à Saintry-sur-Seine (91) (130 kms)

    3ème journée : mercredi 10 juillet 2019 - De Sens (89) à Saintry-sur-Seine (91) (130 kms)

    3ème journée : mercredi 10 juillet 2019 - De Sens (89) à Saintry-sur-Seine (91) (130 kms)

    3ème journée : mercredi 10 juillet 2019 - De Sens (89) à Saintry-sur-Seine (91) (130 kms)

    3ème journée : mercredi 10 juillet 2019 - De Sens (89) à Saintry-sur-Seine (91) (130 kms)

    3ème journée : mercredi 10 juillet 2019 - De Sens (89) à Saintry-sur-Seine (91) (130 kms)


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